L’alliage 18 carats
« Entre les vins à haut potentiel, les élevages en fûts, et la signature finale, souvent plusieurs essais d’assemblage sont nécessaires pour trouver le parfait chatoiement doré de Perle d’Or. » Frédéric Brand, l'oenologue
L’iconique Perle d’Or ne naît qu’à la faveur d’un excellent millésime. Une cuvée confidentielle qui pourtant exige le temps de la réflexion pour composer ce montage d’orfèvrerie.
La noblesse des terroirs de Côte d’Or, Côte de Nuits et Côte de Beaune, et ceux plus solaires du Couchois, forge le raisin.
Le jus jaillit essentiellement des deux grains nobles, le sérieux pinot noir et le souple chardonnay dont une partie est élevée en fût, souvent neuf mois. Comme une gestation sous le bois qui prépare sa venue au monde et son sillage aromatique. Seule l’incomparable fraîcheur du premier pressurage est qualifiée.
Son long élevage sur lattes, plus de trois ans, le désigne pour la cour des Grands Eminents. Un faible dosage souligne sa forte personnalité.
« Perle d’Or nous est apparue comme une évidence »
Un tel Crémant de Bourgogne accompagne une célébration, un moment privilégié, et mérite un beau plat concocté avec soin.
Mariages bourguignons : cuisses de grenouilles à la crème, œufs meurette au Perle d’Or, filets de sandre, volaille sauce Epoisses, fantaisies, croquant fruits rouges, crème vanille.
Ou alsaciens…. D’origine alsacienne, notre œnologue suggère le généreux Baeckeofe.